jeudi 30 novembre 2006

 Aurevoir, aurevoir président

30 11 2006
Toutes les bonnes choses ont une fin, mon expérience à Buzz Lemon en a donc une, et c'était aujourd'hui.

4 mois dans le monde impitoyable du Buzz Marketing Web.
Principalement du blog et du mini jeu (donne ton email, donne le), l'occasion pour moi de développer du template, d'optimiser du CMS existant et de créer de nouveaux outils d'aide à la diffusion (tracking, gestion de fichiers de diffusion).
L'occasion aussi pour moi de découvrir autre chose que du site de PME/PMI (sans connotation négative aucune, loin de là, niveau contact client c'était top), de m'impliquer dans la conception de campagne et de pouvoir sortir quelques dizaines d'idées et concepts (des bons, des moins bons, des pour lesquels le monde n'est pas encore prêt).
L'occasion aussi pour moi de rencontrer des gens intéressants à tous points de vue, merci pour les notions en stratégie et marketing, merci pour l'accent corse, merci pour les expressions vulgaires (mais tellement drôle), merci pour les pensées du jour, merci pour les citronnades, en bref, merci.

Aurevoir président donc, nous n'étions définitivement pas du même monde, nous n'avions définitivement pas la même notion du respect, nous n'avions définitivement pas la même définition du mot management.
Quant à savoir laquelle de nos deux visions est la meilleure, d'une je pense que tu t'en fous, et de deux tu n'etais de toute façon pas prêt à considérer la mienne (ou alors en théorie, la pratique, tu connais moins).

Je t'aime bien ceci dit, tu m'as fait beaucoup rire (sans doute sans t'en rendre compte), tu as fait de belles choses et tu en feras sans nul doute d'autres, après, il y a l'art et la manière, et c'est plus discutable.

Merci pour ce poste de chargé de projets multimédia, tellement bien défini que j'ai fait trop peu de gestion de projet, la faute à nous deux sans doute.
Merci de m'avoir permis de rencontrer des gens qui m'ont beaucoup appris, à qui tu as aussi confié des postes intéressants, ça personne ne peut te l'enlever.

J'espère qu'on se recroisera, je n'en doute pas d'ailleurs, si tu savais...

On finira sur du Franck Sinatra, ça devrait te plaire, toi qui adore cette ville :

lundi 27 novembre 2006

 Retour à la capitale, J-3

27 11 2006
A faire le malin en profitant des joies de la nouvelle technologie, j'ai trés peu dormi, ambiance lendemain de noël, du coup j'ai bavé de tout mon saoul dans le TGV, c'est pas grave, j'ai bien le temps de dormir.

Je n'ai même pas encore pris le temps de faire ma revue de presse, ambiance j'ai corné une page sur 4 du dernier Stratégie et du dernier Courrier des Cadres. Soit cette semaine était bien pourvue en infos Buzz Marketing et Blogging, soit c'est vraiment tendance et du coup je me dis que j'ai raison de pousser dans cette voie.

Plus que 3 jours chez les citronnés du Buzz, beaucoup de remords vis à vis de l'équipe, j'ai beaucoup appris et j'ai surtout découvert que la communication d'une société sur la toile, ça n'est pas qu'un site corporate froid et distant au possible, ça peut être aussi interrogateur et communautaire. Ca annonce sans nul doute un post sur le Buzz Marketing online comme je le conçois, avec ces travers et ses perspectives, blogosphére quand tu nous tiens.

Je dévoilerai mes cartes maitresses vis à vis de mes pistes principales ce week end, d'ici là j'ai un blog de quartier à mettre en ligne, un stagiaire à former rapidement et un nouveau backoffice à terminer, pour quelqu'un qui s'en va dans 3 jours, je me trouve plutôt classe.

Allez, demain est une grande journée, la nuit se doit d'être bonne.

Fil rouge, Relax :

dimanche 26 novembre 2006

 Entre trop et ce qu'il faut

26 11 2006
Après une bonne soirée avec David d'Ibernatus, profitant de ce nouveau luxe du PC portable qui permet d'écrire du fond de son lit, j'ai envie de d'aborder un point qui me parait crucial autour de ce qu'on appelle le Web 2.0 que personne n'a encore clairement défini.

A mon humble sens, le Web 2.0 c'est la possibilité pour les utilisateurs d'intéragir avec le contenu.

Les blogs, ça n'est ni plus ni moins que la possibilité offerte à n'importe qui de créer un site et de s'y exprimer. Après une première vague d'utilisation du web par les personnes en ayant les moyens (c'est à dire les sociétés et les institutions), tout un chacun s'y affiche et diffuse son opinion, l'ensemble des pensées et courants peut désormais s'exprimer, la longue traine se matérialise sur la toile.
Les outils de préconisations comme Zlio ou Xinek, ce ne sont que des possibilités offertes à n'importe qui de vendre et d'être rétribuer sans avoir à dépenser d'argent dans une boutique en ligne. Les distributeurs classiques du web proposent désormais aux utilisateurs d'être des vendeurs.
Les wikis, c'est la possibilité offerte à n'importe qui d'apporter sa pierre à l'édification d'une encyclopédie, généraliste ou spécialisée. Après les érudits traditionnels (dictionnaires, maisons d'édition), la masse jusque là silencieuse des spécialistes met enfin à la disposition de tous son savoir.
Les YouTube et myspace music, c'est la possibilité offerte à tout le monde de diffuser un contenu média. Après les diffuseurs classiques (TVs, radios, etc...) tout un chacun peut mettre en ligne un reportage, un clip vidéo, une chanson de sa composition.
Netvibes et les RSS, c'est la possibilité offerte à tous de personnaliser son besoin en terme de contenu web.

Nous avons donc de plus en plus de possibilités, de plus en plus d'options sur le Web, mais n'allons nous pas arriver à saturation ? Trop de choix ne nuit il pas à l'efficacité ?

Je partirai juste d'un exemple que je trouve assez concret, la différence entre Mac et Windows.

Umberto Eco a assez bien résumé la chose à mon avis : Windows vous propose un paquet d'options et de choix, pouvant vous induire en erreur, Mac ne vous propose que ce dont vous avez besoin (en allant vite, c'est sur).

Pourquoi aujourd'hui j'utilise Itunes plutôt que Windows Media Player ou Winamp ?
Parce qu'en deux clicks je tris, importe et lis mes fichiers audios, sans avoir 1O cases à cocher et un répertoire à choisir, tout en gardant la possibilité de paramètrer tout ça.

Pour moi le défi du Web 2.0 c'est d'arriver à se focaliser sur quelques fonctionnalités essentielles et de les rendre accessibles aisément.
Nous sommes dans une période de construction, d'où cette explosion de services, d'où le fait qu'on ne sache pas encore voir ce qui est vraiment nouveau et ce qui va vraiment être utile.

Pourquoi Google risque de dominer le monde du Web ? Parce que Google prend le temps d'étudier les nouveaux outils et regroupe dans une interface globale les meilleurs d'entre eux, une seule URL permets d'accéder à une multitude de services, ergonomiquement identiques.

Le vrai Web 2.0 pour moi, c'est Google.com une fois qu'on y a créé un compte.

Fil rouge avec du Beastie Boys (dont le dernier DVD est une tuerie) :

samedi 25 novembre 2006

 Vendredi geek

25 11 2006
Après une journée principalement axée autour de la nuit du buzz, retour sur Angers, ayant oublié Hypérion plus ou moins volontairement, je cherchais de quoi m'occuper pendant l'heure et demie de trajet.
Je tombe donc sur Stratégies et le Courrier des cadres (oh le beau "Document sans nom") avec son spécial Blogs, je me dis qu'après avoir tenté Management et CB News je pourrai pousser le vice un peu plus loin, si s'en est un.
Résultat : c'est adopté, et j'essaierai de faire mon petit topo ce week end.

Bonne surprise en arrivant, mon PC portable est arrivé, et miss est fatiguée, de quoi m'occuper largement la soirée, et si je puis parler ainsi, c'est d'la bombe de balle.

De quoi cloturer parfaitement cette semaine riche en émotion... rahhhhh promis je balances bientôt :).

Sur ce bonne nuit, c'est pas que je suis pas bien là au fond de mon canapé avec ma télé et mes chats, mais il se fait sommeil.

Fil rouge, At the Drive In :

jeudi 23 novembre 2006

 C'est dit, c'est fait

23 11 2006
Je vis donc mes derniers jours à mon poste actuel, libération jeudi prochain, je passerai les raisons ici, pour me focaliser sur l'avenir joyeux qui s'offre à moi.

Quelques jours de vacances me feront sans doute le plus grand bien, tout en continuant les entretiens et en avançant sur les opportunités qui s'offrent déjà à moi.
Je ne sais pas encore dans quelle société ni dans quelle ville je serai l'an prochain, ni encore quel poste j'occuperai exactement, je me suis focalisé sur la gestion de projet web, j'espère ne pas trop m'éloigner de la comm, pour la simple et bonne raison que je sais par expérience que mes collégues féminines y seront plus nombreuses et jolies que si je fais du technique pur. Non pas que je sois en chasse (désolé pour vous mesdemoiselles, mon coeur n'est plus à prendre) mais j'attache une certaine importance à mon cadre de travail, n'est ce pas.

Je déboucherai un magnum de champomy si j'arrive à un poste où le développement n'excédera pas 10% de mon temps de travail, mon but est clairement de prendre de la hauteur et du recul vis à vis de mes projets, de faire plus de veille et de gestion, et de développer mon côté créa et conseil (humble recruteur si tu passes par là, entends mes prières, amen).

Sinon, hier soir apéro/kebab entre couilles brutionnes, tentative d'utilisation des baricentres pour trouver un lieu de rendez vous pour notre prochaine rencontre qui se solde par un échec complet (à cause notamment des facteurs stations de metro et mauvaise foi), c'est pourtant pas faute d'ingénieurs... Ce soir apéro dinatoire entre citronnés chez Mathilda, la parisienne azerty (jeu de mot inside), demain retour sur Angers, avec je l'espère mon PC portable, je vais enfin pouvoir faire mon geek en première TGV et arreter de passer pour un intellectuel lisant des pavés de 1 000 pages.

Fil rouge, Limp Bizkit et Method Man, N2 Gether now :

mercredi 22 novembre 2006

 Rock'n'Troll

22 11 2006
Ahhhhh le troll, ce bon vieux pourrisseur de topic ou de billet, ce petit message d'un utilisateur anonyme ou qui ne postera qu'un seul commentaire, message qui sera soit négatif soit déviant, issu de la lecture en travers du topic ou de l'article.

Pendant mes quelques années d'adminstration de TFCHQ déjà, il me pourrissait la vie, nous imposant une modération à la hache, c'est trés énervant au début, puis on commence à modifer le troll, et on finit rapidement par effacer les messages, ou alors on le laisse en pature aux habitués, c'est cruel, souvent inutile, mais souvent drôle.

Après quelques années de rupture, je retrouve le troll dans les blogs et les sites diffusant nos campagnes de buzz, je n'ai plus peur désormais, et ce qui a de bon quand la campagne est bien faite c'est que les habitués prennent directement la défense du service ou du produit, juste avant qu'on se demande si ça ne vaut pas le coup de se créer un compte pour contrer le troll.

Je pense à ça en lisant l'article de DrLoser sur le fanboy complex, et à cet autre article, qui traitent tous deux du phénomène dans les jeux vidéos, moi j'y ai été confronté avec SparkAngels et les VNC ou autre, et dieu merci il y a moins de fanatiques de l'assistance numérique que des jeux vidéos.

Ce qui est quand même drôle c'est que les fanboys puissent s'offusquer d'un 8.8 sur 10, et en masse, dépassant le troll, pour atteindre la véritable connerie.
Autre aspect drôle, ce genre de réaction massive génère un certain buzz, qui dévie du produit pour se focaliser sur l'avis, et au final, c'est souvent l'aspect négatif qui est le plus représenté, occultant la masse des satisfaits silencieux, c'est effrayant pour l'annonceur, c'est la force du buzz.

Alors qu'aujourd'hui on voit l'émergence d'outils de mesure du Buzz, comme ScanBlog, plus ou moins entièrement gérés par de subtiles requêtes sur les moteurs et des outils tels que Technorati je commence à me dire que ces prestations de buzz espionnage ou d'étude de notoriété recquierent un paquet de reflexion on ne peut plus humaine, et une grosse prise de recul, puisque le buzz négatif est à mon humble avis beaucoup plus fort que le buzz positif, et qu'on donne plus volontier un avis négatif qu'un avis positif, partant du simple fait que l'on se plaindra plus facilement d'un service de fonctionnant pas et qu'on s'exprimera rarement lorsqu'on est satisfait, c'est beaucoup plus facile de détruire que de construire, nous sommes d'accord.

Quant à faire le tri entre les critiques constructives et les autres, la tâche devient vraiment hardue.

Un peu de Wax Taylor pour finir :

mardi 21 novembre 2006

 Radio bière blog foot

21 11 2006
Il était temps que je mette un peu le nez dans le template Dotclear, j'espère que Julien De Luca ne m'en voudra pas, il reste encore un peu de boulot mais on se sent déjà un peu plus chez soi.

Journée ponctuée par l'absurdité et l'incohérence des demandes patronnales, mais restons zen, mon contrat se termine officiellement le 31 novembre 2006 (si c'est pas un signe ça...).
Tout n'est pas morose cependant, SparkAngels, le premier service d'entraide numérique explose tout nos records de VU, j'ai eu des news du Tinou et ce soir je monte un blog pour un projet top sicret en buvant des bières autour du match de l'OL, preuve que la vie elle est belle parfois n'est ce pas.

Et avec ceci, le fil rouge, et ce s'ra tout, by Java :

 Monday, let's go

21 11 2006
Petite allusion à un chanson de Candie Prune pour commencer la semaine, avec un jour de retard certes.

Back to Paris donc. Paris ville lumière, Paris ville des communicants, Paris ville de quelques idiots.

Ca fait maintenant un peu plus de 4 mois que je me suis plongé dans ce milieu bouillonnant, au service de la production, en essayant de participer à la conception, et je suis bien obligé de me rendre compte qu'on privilégie l'aspect créa et stratégique à la prod.
Dans un sens c'est normal, il y a des milliers de techniciens, mon métier après tout n'a rien de super compliqué, PHP et MySQL sont des langages relativement abordables, c'est bien le concept dans lequel cette technicité sera employée qui fera la différence.

Pour en avoir discuter avec une conceptrice rédactrice et un chef de projet de chez Publicis Paname, en plus de ma propre opinion, la prod est beaucoup trop dénigrée, beaucoup trop mis au rencart.

Dans le CB News de cette semaine on trouve un article sur la valse des DA et cadres sups dans les groupes de com, si le phénomène peut paraitre inquiétant au premier regard, les annonceurs comme les responsables d'agences s'accordent à dire que l'impact est relativement limité.

Je pense que c'est grâce à la prod que les agences gardent une certaine stabilité, même quand les cadres créa vont et viennent.
On schématisera ça de manière super simple et démago (j'adoooore être démago) : une agence c'est une voiture de course, la prod c'est le moteur, la créa c'est le pilote. Si on change le pilote, il y aura un petit temps d'adaptation mais la voiture fera toujours des pointes et sera toujours opérationnelle.

Bien sur que je prêche ma paroisse, mais je ne suis pas sur que certains responsables d'agence aient vraiment tilté cela (j'ai bien un nom en tête, mais bon).

Idéalement, que dis-je, utopiquement, la créa et la prod devraient faire équipe, chacun ayant ses idées à apporter à l'autre, une bonne veille technologique pouvant offrir de nouvelles solutions et de nouveaux outils pour les créas, mais le problème de la prod, c'est qu'on ne lui demande souvent QUE de la prod, du coup, charrette, du coup pas de veille.

Je pourrai continuer encore longtemps comme ça, mais je finirai plutôt sur le fil rouge, avec du Spicy Box, et Le Savoir :

dimanche 19 novembre 2006

 Sunday happy Sunday

19 11 2006
Si on devait me demander (et on va sans doute n'est ce pas) qu'elle est ma campagne de Buzz Marketing préférée cette année, je dirai Borat , YouTube est envahi, le web en est fou, le site officiel est génial, les interventions télés de Sacha Baron Cohen sont dingues, bref définitivement Borat, parce que le film est bon et parce que Sacha Baron Cohen est super doué pour improviser autour des tics et conneries des gens, du journalisme drôle parce que social.

Autre joyeuseté de la journée, le PSG a perdu, rien d'étonnant ni d'extasiant bien que ça fasse toujours sourire, mais c'etait contre Bordeaux, et j'aime bien Bordeaux.

Demain retour sur Paris, une nouvelle semaine, 2 projets en freelance qui tombent, un match de Ligue des Champions, une sombre histoire de deuxième vie, ça promet.

On finira ce week end sur du RJD2 :

samedi 18 novembre 2006

 Premier billet du samedi

18 11 2006

Je ne vais pas cracher sur des titres aussi faciles alors que je viens à peine de commencer, on affinera le style plus tard.

Samedi matin donc, réveil aux aurores du côté d'Angers, avec l'impression d'être un môme le matin de noël, pas de paquet géant pourtant, juste un blog... Sans doute la force du geek de s'extasier devant une somme de 0 et de 1, de rien en fait. Ca vous réveillerez vous l'idée de faire des sous domaines, un peu de PHP et de CSS un samedi matin ? Moi oui, allez comprendre.

Puisqu'il faut lui donner un peu de corps à ce blog, remplissage des liens dans le désordre et cherchage de skin Dotclear, là encore on affinera le style plus tard.

Programme chargé et comptable ce week end, de sombres histoires de comptabilité à régler avec Franck d'Akoufen et mon père. Préparation des décos de noyel avec miss façon Marie Claire Idées, surprise ce soir à priori, demain midi mangeage chez môman...

Bien trop de choses à côtés, et surtout pas encore le moment de parler à cause des engagements actuels (comprenne qui pourra), même sans clause de confidentialité on ne raconte pas tout à fait ce qu'on veut (j'ai du être trop bien éduqué), la fin du mois devrait être libératrice à ce point de vue, et je pourrai alors deverser mon fiel à volo, patience.

Il est l'heure d'entrer dans la vie active, je vous quitte donc avec la tentative de fil rouge du mois, et du Death in Vegas :

vendredi 17 novembre 2006

 Premier billet

17 11 2006

Premier billet donc, autour de ce gigantesque projet qu'est guewen.com : geek, musique, webdev et peut être un peu de moi si vous êtes gentils.

Sans doute cela servira t'il à donner quelques infos aux copains zé copines around ze world, à la famille, aux collègues, aux autres, advienne que pourra.

On va résumer ça par un pitch furieusement fédérateur : "Les aventures d'un breton dans le monde du Web 2.0, entre Paris, Angers et l'univers. Ses doutes, ses certitudes, ses joies, ses peines.".

Premier essai de fil rouge, le mp3 de fin de post, on commence avec du Billy Talent :